Brisons le silence

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   Trier par date croissante
TIMEBUSTER
Posté le:
12/10/2007 13:52
Sujet du message:
Le passé pédophile de la gauche
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Email:
timebuster@hotmail.com
Site Internet:
http://timebuster.xooit.com
Voici un texte d'Isabelle Aubry, présidente de l'association des victimes de l'inceste, qui va dans le sens de ce que je dénonce depuis des années, à savoir la manipulation de la langue Française par les pseudo intellos gauchistes.
http://time.unblog.fr
http://timebuster.xooit.com
Pédophilie, abus sexuels, attouchements... halte aux gros mots ! Il est des mots, lorsque l’on touche au tabou de l’inceste, qui dérangent, qui font peur, que l’on fuit et dont on se détourne pour mieux se protéger. La pratique est simple, utiliser d’autres mots plus politiquement corrects ou plus supportables. Mais parfois, même à notre insu, ceux-ci s’avèrent tout aussi pervers que l’acte qu’ils signifient. Commençons par le plus fameux, le plus employé dans notre société par tout un chacun et surtout par les médias : pédophilie. Il est issu du mot pédophile, étymologiquement, composé de deux termes grecs ; paidos (enfant) et philos (ami) ; l’ami des enfants, celui qui aime les enfants. Ce néologisme a été lancé à la fin des années soixante par un mouvement intellectuel sociopolitique. Le but était de démarquer la pédérastie de la pédophilie. La pédérastie qui désigne l’attirance érotique d’un adulte pour les adolescents (ou préadolescents), bien souvent associée à l’homosexualité. Malheureusement, la manœuvre aboutit à une confusion entre les deux termes qui donne aujourd’hui un sens différent à la pédophilie. On parle de pédophilie lorsqu’un adulte, homme ou femme, impose par la violence, la manipulation, la menace ou toute autre manœuvre, des relations sexuelles à un enfant. Sous couvert de l’amour porté à l’enfant, de l’initiation de ce dernier aux affaires sexuelles, le pédophile, profite de l’enfant comme objet sexuel jusqu’à l’échanger, le vendre, le tuer (cf. affaire Dutroux). A partir des années 90, les médias s’approprient le terme, le galvaudant à loisir. Si la pédophilie n’est pas inscrite dans le code pénal, elle sert de couverture à un crime tout aussi grave et bien plus répandu : l’inceste. En effet, 80% des infractions sexuelles sur mineurs sont commises au sein de la famille. Cette réalité, bien difficile à dire autant qu’à admettre est camouflée derrière la pédophilie. Tabou oblige. Le résultat est sans appel : on ne parle plus d’inceste mais de pédophilie dès lors qu’il s’agit d’infractions sexuelles sur enfant. Ainsi des affaires bien connues comme celle d’Outreau ou d’Angers sont présentées sous ce terme. Jamais, voire rarement, on ne parlera d’inceste. Et pourtant il s’agit d’inceste. Voilà un tour de passe-passe exemplaire qui permet à notre société de dédouaner la famille, l’intouchable famille. Le pédophile, c’est l’étranger au coin du bois, c’est rare, ça n’arrive qu’aux autres. Donc on en parle peu et l’on concentre la prévention auprès des enfants sur cet étranger qui lui proposera des bonbons. Or, le lieu de tous les dangers dont on ne parle jamais à l’enfant, c’est sa propre famille. Par chance, si l’enfant incesté se rend compte que ce qu’il vit est anormal et qu’il en parle, neuf fois sur dix, toute sa famille se retournera contre lui et lui imposera le silence. L’autre problème avec le mot pédophilie est qu’il signifie toujours étymologiquement, « aimer les enfants ». Les pédophiles s’en servent pour justifier leurs actes, prétextant qu’ils donnent de l’amour à ces enfants lorsqu’ils les violent. Ce mot ne signifie pas ce qu’il représente, c’est-à-dire la transgression de l’interdit de la loi. C’est pourquoi, les mots pédocriminel ou pédocriminalité sont plus appropriés et plus respectueux pour les victimes. Mais rappelons-nous qu’un pédocriminel est toujours un membre extérieur à la famille. S’il s’agit d’inceste, on parlera de père incestueux, de mère incestueuse, de frère, sœur... L’abus sexuel ça va, le viol, bonjour les dégâts ! Rappelons cette publicité préventive contre l’abus d’alcool : « Un verre ça va, deux verres, bonjour les dégâts ! ». On peut user mais pas abuser. Quelque part, le mot abus implique que l’on a un droit d’user dans certaines limites et sous certaines conditions. Si l’on applique cette idée au terme tant utilisé « abus sexuel », cela signifie que l’on a des droits sexuels sur l’enfant mais qu’il ne faut pas aller trop loin. C’est d’ailleurs pourquoi en France on a classifié les infractions sexuelles selon une échelle de « gravité » avec des peines proportionnelles. Malheureusement, c’est mal connaître les conséquences des infractions sexuelles, qui peuvent varier d’un individu à l’autre. C’est aussi punir des actes physiques sans tenir compte de l’acte psychologique très grave : la trahison d’un lien d’amour et de confiance. Quand il s’agit d’inceste, cette trahison peut mener au suicide même si il n’y a pas eu de rapport sexuel complet, et ce, quel que soit l’âge de l’enfant. Les termes violences sexuelles ou infractions sexuelles seraient plus appropriés. Attention, l’expression « agressions sexuelles » est à utiliser avec circonspection car il s’agit d’une appellation juridique. Les infractions sexuelles se répartissant en trois catégories : les délits d’atteintes et d’agressions sexuelles et le crime de viol. Pour illustrer la permissivité en vogue dans notre société, précisons que les atteintes sexuelles (ex : attentat à la pudeur) sont des agressions sexuelles sans violence, menace, contrainte ou surprise. Interprétation juridique : la victime était consentante et ce quel que soit son âge. Ci-après, un communiqué illustrant le résultat de cette permissivité, datant certes de 1977, mais la loi existe toujours et personne ne parle de la supprimer. Il est tellement évident qu’un enfant de cinq ans ne va pas dire non, se défendre, prendre une arme, crier... quand son papa ou son grand-père va s’adonner à des actes sexuels sur lui. Enfin, la situation rappelle étrangement les arguments d’Outreau qui, c’est le moins qu’on puisse dire, ne bénéficient pas aux victimes. Le Monde du 26 janvier 1977 : Nous avons reçu le communiqué suivant : " Les 27, 28 et 29 janvier, devant la cour d’assises des Yvelines vont comparaître pour attentat à la pudeur sans violence sur des mineurs de quinze ans, Bernard Dejager, Jean-Claude Gallien et Jean Burckardt, qui arrêtés à l’automne 1973 sont déjà restés plus de trois ans en détention provisoire. Seul Bernard Dejager a récemment bénéficié du principe de liberté des inculpés. Une si longue détention préventive pour instruire une simple affaire de " moeurs " où les enfants n’ont pas été victimes de la moindre violence, mais, au contraire, ont précisé aux juges d’instruction qu’ils étaient consentants (quoique la justice leur dénie actuellement tout droit au consentement), une si longue détention préventive nous paraît déjà scandaleuse. Aujourd’hui, ils risquent d’être condamnés à une grave peine de réclusion criminelle soit pour avoir eu des relations sexuelles avec ces mineurs, garçons et filles, soit pour avoir favorisé et photographié leurs jeux sexuels. Nous considérons qu’il y a une disproportion manifeste d’une part, entre la qualification de "crime" qui justifie une telle sévérité, et la nature des faits reprochés ; d’autre part, entre la caractère désuet de la loi et la réalité quotidienne d’une société qui tend à reconnaître chez les enfants et les adolescents l’existence d’une vie sexuelle (si une fille de treize ans a droit à la pilule, c’est pour quoi faire ?) La loi française se contredit lorsqu’elle reconnaît une capacité de discernement à un mineur de treize ou quatorze ans qu’elle peut juger et condamner, alors qu’elle lui refuse cette capacité quand il s’agit de sa vie affective et sexuelle. Trois ans de prison pour des caresses et des baisers, cela suffit. Nous ne comprendrions pas que le 29 janvier Dejager, Gallien et Burckardt ne retrouvent pas la libérté". Ont signé ce communiqué : Louis Aragon, Francis Ponge, Roland Barthes, Simone de Beauvoir, docteur Bernard Kouchner, Jack Lang, Judith Belladona docteur Michel Bon, psychosociologue Bertrand Boulin, Jean-François Lyotard, François Chatelet, Patrice Chéreau, Philippe Sollers, Copi, Michel Cressole, Gilles et Fanny Deleuze, Bernard Dort, Françoise d’Eaubonne, docteur Maurice Erne, psychiatre Jean-Pierre Faye, docteur Pierrette Garrou, psychiatre Philippe Gavi, docteur Pierre-Edmond Gay, psychanalyste docteur Claire Gellman, psychologue, docteur Robert Gellman, psychiatre André Glucksmann...et bien d’autres. « Ce n’étaient QUE des attouchements » Certains avocats disent qu’ils vont plaider une affaire « touche pipi » lorsqu’il s’agit d’attouchements ou, juridiquement parlant, d’atteintes ou d’agressions sexuelles sur mineur. Le terme utilisé dans le langage populaire, par son sens, minimise les actes commis par l’agresseur. Toucher, caresser, qu’y a-t-il de mal là-dedans ? De plus, on parle souvent de « simples » attouchements, ou « que des attouchements ». Il est courant de penser que les attouchements, ce n’est pas grave, qu’il n’y a pas de quoi en faire un plat. Pourtant, les conséquences sont tout aussi graves pour la victime car une fois encore, on esquive l’aspect psychologique de l’acte : la trahison. Cette trahison, suivie de l’incrédulité de l’entourage ou pire de la justice, va enfoncer la victime dans la culpabilité et la honte qu’elle subit déjà depuis l’acte. Si les actes se sont déroulés « en douceur », cette culpabilité sera d’autant plus forte. Notons que les conséquences de l’inceste, pour des victimes de viol ou d’agressions sexuelles par un membre de leur famille, sont les mêmes qu’il y ait eu un rapport complet ou non. La loi s’en tient à l’acte pur, la société aussi, et plus triste encore, les victimes aussi. Elles se persuadent que ce n’est pas grave, ne demandent pas d’aide, ne portent pas plainte, jusqu’au jour où la souffrance et les symptômes, inévitablement, font surface. Tentatives de suicide, suicides, automutilation, alcoolisme, toxicomanie, prostitution, dépressions... la liste des dégâts est très longue, et tout ça pour quelques caresses... C’est pourquoi le terme d’attouchements devrait sortir de notre langage. Nous avons largement de quoi le remplacer : agressions sexuelles, violences sexuelles, infractions sexuelles.... Les mots sont importants, surtout lorsqu’il s’agit de lutter contre un tabou. A nous de prendre conscience de leur importance et de ce qu’ils peuvent induire, déclencher pour l’autre et pour nous-mêmes. Preuve en est, la bataille pour arriver du « présumé coupable » au « présumé innocent ». On ne voit pas les choses de la même manière selon l’expression employée, on ne traite pas non plus la personne de la même manière. Au nom des victimes d’inceste et de pédocriminels, rayons de notre vocabulaire la pédophilie, le pédophile, les abus sexuels, les attouchements.
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Mais qui a vraiment besoin de Libération?25 11 2005
LIBE FACE A SON PASSE PEDOPHILE
La plus longue grève de son histoire, les journalistes unanimes qui se la jouent solidaires, un silence respectueux entoure les évènements qui secouent la rédaction du quotidien Libération. Alors que l’occasion s’y prête à merveille, personne n’ose la critique envers ce QG suprême de la pensée de gauche, ni même l’interrogation envers les problèmes de financement et encore moins le constat devant l’hémorragie de lecteurs. Sous des dehors militants, Libération a des manières de grande muette.
En ce qui nous concerne, outre le fait que le capital soit en train d’avoir la peau des camarades nous amuse un peu, nous aurions apprécié que les grévistes se livrent à la traditionnelle autocritique et considère l’ouvrage abattu depuis toutes ces années. Nous ne ferons pas ce travail fastidieux à leur place, mais nous permettrons de rappeler à July et à sa clique qu’il y a deux-trois petites choses sur l’ardoise qui n’ont pas été réglées.
Il y en a une, principalement, qui nous reste en travers de la gorge, particulièrement d’actualité avec l’affaire de la petite Aurélia, le soutien ouvert à la pédophilie dans les années 70-80.
Souvenons-nous: Mai 68 a sonné le tocsin puis le glas de l’"ordre moral", le vieux monde est condamné, la libération sexuelle balaie tout sur son passage, tout même les enfants, les nourissons, Libération se fera le moteur premier de la "révolution sexuelle" et le porte-voix de mouvements tels que le ‘Front de libération des pédophiles‘:
AVERTISSEMENT: Contenu très explicite. Interdit au moins de 21 ans et aux personnes sensibles. La rédaction du BAF condamne très fermement ces textes et l’idéologie perverse qui les motive, notre but n’est pas de faire l’apologie de la pédophilie mais, au contraire, de fournir une information précise et documentée pour que chacun puisse la rejeter et la combattre en pleine connaissance de cause! Reproduction et diffusion strictement interdites, ainsi que le détournement de ces sources vers un but autre que la condamnation des pratiques sexuelles incriminées. Avant toute choses, consultez la Loi suisse et celle en vigueur dans votre pays.
En effet, mai 1977 (republié: Libération 01.03.1979), on lit ceci dans Libération:
« Naissance du « front de libération des pédophiles »
Un nouveau groupe vient de naître: le FLIP (Front de libération des Pédophiles) dont vous pourrez lire ci-dessous la plate-forme constitutive. Qui sont-ils ? Pour l’essentiel, des lecteurs de Libération qui à la suite d’une « lettre ouverte aux pédophiles dans notre édition du 9/2/77 nous firent parvenir un courrier abondant - nous en rapportions quelques-unes dans une double page le 24 mars 77 intitulée: Relations Adultes-Enfants. Le deux avril dernier se tenait à Jussieu une première réunion regroupant une trentaine de personnes. Simple prise de contact. Sans doute, peut-on regretter que l’essentiel des préoccupations ait été d’ordre judiciaire. Il ne fut en effet question que de répression, de défense et de poursuite des pédophiles. Sans méconnaître ces dures réalités, un tel groupe a tout à gagner s’il élargit son champ de réflexions.
Le FLIP (Front de libération des Pédophiles) est né. Quelques objectifs essentiels ont déjà pu être lancés:
— Combattre l’injustice pénale et mener une réflexion critique sur la famille et l’école, fondée sur une analyse politique de la sexualité entre mineurs et adultes.
— S’associer à la lutte des enfants qui veulent changer leur mode de vie et de tout groupe politique qui vise à l’établissement d’une société radicalement nouvelle où la pédérastie existera librement.
— Développer une culture pédérastique qui s’exprime par un mode de vie nouveau, et l’émergence d’un art nouveau.
— Prendre la parole dans des organes d’information qui lui en donnent les moyens et par les voies qui s’imposent.
— Manifester sa solidarité avec les pédophiles emprisonnés ou victimes de la psychiatrie officielle.
La « tyrannie bourgeoise » fait de l’amoureux des enfants un monstre de légende qui croque les chaumières. Nous casserons ensemble monstres et chaumières.
Pour joindre le FLIP, écrivez à Jean-Louis Burckhardt, BP N°361, 75 Paris cédex 02 (ne pas mentionner FLIP sur l’enveloppe, joindre un timbre pour la réponse) ».
Libé définit la pédophilie comme une culture (Libération 10.04.1979) qui cherche à briser la « tyrannie bourgeoise qui fait de l’amoureux des enfants un monstre de légende » (Libération 07-08.05.1977). La rédaction affirme vouloir tout simplement « traiter des relations entre les gens comme des faits de société (…) et ne pas les ghettoïser, en circuits fermés et cinémas spécialisés » (Libération 01.03.1979).
Le 10 avril 1979, le quotidien publiera le plaidoyer de Gabriel Matzneff et Tony Duvert en faveur des "amours minoritaires" (article titré: "Année de l’enfance"…) mais c’est deux mois plus tôt que l’horreur absolue a été atteinte, avec l’interview pleine page, sur deux jours, de Jacques Dugué, violeur d’enfants, et de ses propres enfants, que le journal ne manque pas de louer pour "sa franchise quant à la sodomie". « Pourquoi un homme n’aurait-il pas le droit d’aimer un enfant? », interroge Dugué qui prend un malin plaisir à se répandre en descriptions obscènes: « Un enfant qui aime un adulte, sait très bien qu’il ne peut pas encore donner, aussi, il comprend et il accepte très bien de recevoir. C’est un acte d’amour. C’est une de ses façons d’aimer et de le prouver. Ce fut le comportement avec moi des quelques garçons que j’ai sodomisés.Et puis disons les choses comme elles se passent. Il aime ressentir dans son corps, le membre viril de celui qu’il aime, d’être uni à lui, par la chair. Cela donne de grandes satisfactions.Il a aussi la satisfaction d’être agréable à celui qui le sodomise qui jouit en lui. Cela lui procure aussi une grande joie, car aimer c’est aussi bien donner que recevoir.
Cela peut-être dur à admettre pour des profanes, mais c’est la réalité »; dans un quotidien d’audience nationale… (Libération 25-26.01.1979)


Devant l’horreur de ces déclarations, la société, dans un ultime sursaut "réactionnaire", brave la dictature de la pensée unique et ose une protestation. L’indéboulonnable Serge July, rédacteur en chef, persiste et signe: En mars 1979, le journal titre triomphalement sur « les outrages de Libération », où July crie à la censure et publie à nouveau, en guise de provocation, l’ensemble des articles ou illustrations qui, en 19 mois, lui ont valu pas moins de 9 inculpations pour outrages aux bonnes mœurs et incitations à la débauche. Accusation "bourgeoises" et contraires à l’idée qu’il se fait d’une presse "innovante", une presse qui, en l’occurrence, « respecte le mouvement, les mouvements contradictoires et multiples de la vie ». Le monde nouveau que Libération rêvait pour demain devait avoir la pédophilie pour principe…
Parmi ces illustrations, on retrouve cette œuvre du groupe Bazooka reprise de la revue Regards modernes, et montrant une fellation réalisée par une petite fille, sous le titre « apprenons l’amour à nos enfants » (publié le 5-6 /11/1978 dans la page d’annonces « Taules ») ou encore des dessins impliquant des bébés ou une photo mettant en scène de jeunes garçons dans des postures sodomites (Libération 01.03.1977).
En 1981 encore, Libération publie ceci: « Je faisais un cunnilingus à une amie. Sa fille, âgée de cinq ans, paraissait dormir dans son petit lit mitoyen. Quand j’ai eu fini, la petite s’est placée sur le dos en écartant les cuisses et, très sérieusement, me dit "à mon tour, maintenant". Elle était adorable. Nos rapports se sont poursuivis pendant trois ans ». C’est un homme qui parle. Il s’appelle Benoît. Son interview, titrée « câlins enfantins », est précédée d’une phrase du journaliste: « Quand Benoît parle des enfants, ses yeux sombres de pâtre grec s’embrasent de tendresse ». C’est terrible, illisible, glaçant, et publié dans Libération le [url:d686ba64e5=http://www.denistouret.net/textes/Cohn-Bendit.html]20 juin 1981.



[/url:d686ba64e5]
En 1982, Hocquenghem affirme que « La pédophilie n’a jamais été en tant que telle un délit dans le code pénal » (Libération 20.10.1982), elle serait donc licite, en soi…
Tout ça c’est du passé, nous dira-t-on, il y a prescription: Libération - toujours - le 1er mars 2001, publie une apologie de l’éducation pédophile en guise de pétition de soutien au non moins pédophile Daniel Cohn-Bendit:
« Nous sommes les enfants de la révolution sexuelle. Nous avons aujourd’hui des enfants, ou nous espérons en avoir, ou nous en côtoyons et nous disons merci à la génération de nos parents. Nous entendons les médias clouer Cohn-Bendit* au pilori en l’accusant de pédophile. Nous entendons ce qu’il dit, nous entendons ce qu’il décrit et dans ses mots nombre d’entre nous ont l’impression d’entendre et de revoir leurs propres parents. Sommes-nous des enfants de pédophiles? Nombre d’entre nous ont eu des parents qui se sont promenés nus devant eux, sans doute nous ont-ils laissés toucher leurs seins, leur sexe. Ils ont été heureux quand nous sommes tombés amoureux à la maternelle, quand nous avons embrassé d’autres enfants sur la bouche. Ils nous ont laissés jouer à « touche-pipi ». Que dit Cohn-Bendit? A-t-il évoqué le désir qu’il aurait pu éprouver pour des enfants? A-t-il eu l’intention de les pénétrer? Leur a-t-il demandé des fellations? Non. Ce qu’il raconte, c’est ce que nous ont laissés vivre nos parents -ou que nous aurions aimé que nos parents nous laissent vivre - et c’est ce que nous voulons vivre avec nos enfants. Des enfants qui ont une vie sexuelle - qui l’ignore encore aujourd’hui? - qui éprouvent des désirs, qui ont des questions, des séductions. Bref, non pas des enfants objets pour les adultes, mais bien des enfants sujets dans toute leurs dimensions, y compris celles qui excitent tant les esprits. Les années 70 ont fait des enfants - de nous - des sujets. La révolution sexuelle - y compris dans le domaine de l’enfance - nous a d’abord appris que notre corps nous appartenait. Que nous avions le droit d’en faire ce que nous voulions, avec qui nous voulions. Que, parce que devenus sujets, nous avions le droit de dire « non » à ceux qui désiraient faire autre chose de notre corps et de nos désirs que ce que nous, nous voulions »… Cinq ans après l’affaire Dutroux, Libération n’avait rien oublié, rien appris!

Etc. etc. et encore fait-on grâce des premiers numéro de Gai Pied, des pétitions du FHAR ou des trotskistes, signées par des Fischer, des Jospin, des Lang et autant d’icônes proprettes d’une gauche bien pensante qui doit encore passer à la barre des tribunaux de l’après-guerre sexuelle…
Mais qui a encore besoin de Libération?

* Cohn-Bendit a publié ceci, en 1975, dans Le Grand Bazar: « Il m’était arrivé plusieurs fois que certains gosses ouvrent ma braguette et commencent à me chatouiller. Je réagissais de manière différente selon les circonstances, mais leur désir me posait un problème. Je leur demandais: "Pourquoi ne jouez-vous pas ensemble, pourquoi m’avez-vous choisi, moi, et pas les autres gosses?". Mais s’ils insistaient, je les caressais quand même ».
[Update 05.12.05] Libé face à son passé pédophile (suite)
Un lecteur du site AMI complète les déclarations ouvertement pédophiles de Cohn-Bendit; glaçant…


« http://www.bafweb.com/2005/11/25/1421/Michel de Poncins: France: La misère obligatoire du logement »

Voici un autre site se disant "anti-capitaliste", pronant ouvertement la pédophilie justifiée par le ou les auteurs à condition qu'elle soit, tenez-vous bien ! Pratiquée sans violence.
Le titre de l'article (non signé) est elloquent !
"Plaidoyer en faveur d’une authentique pédophilie"
http://www.mutations-radicales.org/Plaidoyer-en-faveur-d-une.html
J'éspère que la police et la justice vont suivre ce dossier de près et demander des comptes aux individus résponsables de cette horreur.

Mario Kekic
TIMEBUSTER
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