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   Trier par date décroissante
Laurent Comeau
Canada
Posté le:
25/5/2004 14:49
Sujet du message:
Et le Vatican?
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comeau_laurent@hotmail.com
Site Internet:
http://fr.groups.yahoo.com/group/bible_debats_sans_censures/messages
ET LE VATICAN?

À la fin de la Seconde Guerre Mondiale, la pluspart des monarchies avaient "sauté". Les Illuminati avaient accompli une partie de leur plan. Mais qu'en était-il du catholicisme?
Un bref coup d'oeil fait croire que 17 siècles de stabilité sont immuables mais à y regarder de plus près, il en va tout autrement.
Le service secret du Vatican était, depuis toujours, l'ORDRE DES JÉSUITES. Je vais décevoir ceux qui croient que les Jésuites n'ont été qu'une simple organisation religieuse de plus. Le serment d'initiation du 2ème degré exige la mort de tous les protestants et francs-maçons. Les Jésuites ont été, par exemple, l'instance qui a organisé les massacres des Huguenots et à qui on doit d'innombrables têtes décapitées chez les protestants et francs-maçons en Angleterre aux 16ème et 17ème siècles. L'ordre des Jésuites fut fondé en 1534 par Ignace de Loyola, qui était d'origine JUIVE, comme le furent les trois premiers généraux de l'ordre.
Le général des Jésuites (le chef) est si puissant qu'il est appelé le "PAPE NOIR".
D'autres loges secrètes infiltrèrent en force l'Église catholique pendant la Deuxième Guerre Mondiale. Ce fut le cas, entre autres, de l'OSS (le précurseur de la CIA), du MI 6, des membres du "BLACK NOBILITY" italien, des francs-maçons et de la loge P2 (Propaganda Due); toutes ces loges étaient sous la protection du "Comité des 300". La loge "P2" est la loge franc-maçonnique la plus influente en Italie. La "GRANDE LOGE DU VATICAN" y est annexée, c'est elle qui fut à l'origine du "Scandale P2" en 1976 lorsqu'une liste des membres de la loge fut produite au Vatican avec les noms et les dates d'entrée de 121 grands dignitaires ecclésiastiques avec, parmi eux, des cardinaux de la curie, des archevêques, des évêques, des prélats et des laïques. On fit une vraie chasse aux sorcières pour trouver ceux qui avaient publié cette liste au lieu de demander des comptes aux personnes citées sur cette liste. Tout commentaire est superflu. Entre autres noms, celui du secrétaire d'État du cardinal Jean Villot, du ministre des Affaires étrangères du Vatican Agostino Casaroli, du cardinal Sebastiano Baggio, du cardinal Ugo Poletti et du chef de la banque du Vatican, l'évêque Paul Marcinkus.
Les Illuminati soutiennent, comme nous avons pu le constater, les deux camps des nations en guerre. Ce fut de plus en plus évident à la fin de la Deuxième Guerre. Allen Dulles (chef de la CIA), par exemple, avait des rencontres secrètes avec le chef des SS Gehlen.
On s'arrangea pour faire passer des officiers SS en Suisse sous le couvert de l'Église catholique. Quelques officiers SS prirent le titre de prêtre et furent conduits dans d'autres pays, surtout en Argentine, au Paraguay et aux États-Unis. Après la guerre, Gehlen reçut la mission de prendre en charge la "RADIO DE L'EUROPE LIBRE". Beaucoup de SS furent intégrés dans la CIA à cette même époque.
Un autre membre intéressant du "Comitédes 300" fut Joseph Retinger (Ratzinger?). La CIA lui apporta son soutien après la guerre afin qu'il puisse conclure des contrats avec le Vatican. Il gagna, entre autres, à sa cause le Dr Luigi Gedda, conseiller médical du pape Pie VII et dirigeant des activités catholiques. Grace à lui, il réussit à consolider ses relations avec le papa Paul VI qui avait déja collaboré auparavant avec l'OSS (Office of Strategic Services = Bureau des services stratégiques), organisation qui allait devenir, plus tard, la CIA. Retinger rencontra aussi le prince Bernhard des Pays-Bas, le Premier ministre italien, Sir Collin Grubbin, directeur de la SOE (Special Operations Executive, service secret britannique) et le directeur de la CIA, le général Walter Bedell.
Le PRINCE BERNHAR était chez les SS avant la guerre et obtint, ensuite, un emploi à la I.G. Farben. Par la suite, son mariage le lia à la maison Orange-Nassau et il occupa un poste dans la compagnie Shell Oil. Le petit groupe de personnes citées ci-dessus se rencontra en mai 1954 à l'hôtel "De Bilderberg" à Oosterbeek, en Hollande, ce fut le noyau du groupe qui devait être connu, plus tard, sous le nom de "Bilderberger". Le prince Bernhard des Pays-Bas, membre du Comité des 300, fut le premier directeur des "Bilderberger" (voir ci-après).
Le cardinal Spellman fut une des personnes de la CIA qui eut une influence importante dans l'Église catholique. Spellman soutint, entre autres, la CIA lorsque celle-ci renversa la démocratie au Guatemala en 1954. Ce fut lui aussi qui introduisit le père Paul Marcinkus de Chicago auprès du pape. En 1971, Marcinkus devint archevêque et chef de la BANQUE DU VATICAN. Il développa aussi d'étroites relations avec Michele Sindona, membre de la loge franc-maçonnique P2, et avec Roberto Calvi. Le grand maître de la loge P2 était Licio Gelli. Calvi, chef de la BANQUE D'AMBROSIANO, aida le Vatican à transférer plus de 100 millions de dollars au mouvement "Solidarité" en Pologne. Il fut mêlé, plus tard, au grand scandale de cette banque. En 1982, on trouva son corps suspendu au pont Blackfriars à Londres. Dans chacune de ses poches se trouvaient deux briques et ses jambes étaient garrottées en angle droit. C'était un meurtre rituel chez les francs-maçons. Mais les journaux passèrent outre ces détails. Sindona devint conseiller à la Banque du Vatican. La loge P2 avait de nombreuses relations avec le Vatican, l'Opus Dei et la CIA, et beaucoup de ses membres occupèrent des postes élevés dans le gouvernement italien.
En janvier 1966, le magazine "Look" publiait cet article:
"Comment les Juifs réussirent à modifier la pensée de l'Église catholique". On y décrit avec force détails les négociations secrètes entre la loge juive B'NAI B'RITH et le cardinal Bea, représentant de l'Église catholique. Le Vatican est probablement la plus riche organisation du monde. Une grande partie de son capital se trouve dans les banques Rothschild. Il ne fait aucun doute que le Vatican fut repris au cours des années par le "Comité des 300", ce qui explique les fréquentes visites de Bush, Gorbatchev et autres chefs d'État chez le pape.
Et ces exemples ne montrent que la pointe de l'"iceberg-Vatican".
Un autres exemple: celui de l'assassinat du pape Jean XXIII. L'annonce de sa mort parut, par erreur, un jour trot tôt dans le quotidien mexicain "El Informador", publié par la grande loge des francs-maçons de l'ouest du Mexique (l'annonce fut publiée le 3 juin 1963, le pape Jean mourut le 3 juin 1963 à 19h49).
Un livre intéressant à ce sujet: "Im Namen Gottes" (Au nom de Dieu) de David A. Yallop.
Le PAPE JEAN PAUL II (le pape actuel) a, lui aussi, un passé intéressant et digne d'être mentionné. William Cooper qui a travaillé douze ans pour la "Naval Intelligence" (service secret de la Navy) écrit dans son livre "Behold a Pale Horse" qu'il aurait travaillé pendant la Deuxième Guerre en Allemagne pour I.G. Farben à la production du gaz pour les chambres à gaz des camps de concentration. A la fin de la guerre, de peur d'être exécuté pour avoir collaboré à des crimes de guerre, il se serait enfui en Pologne sous la protection de l'Église catholique. Il y serait resté et aurait eu une carrière semblable à celle d'Eisenhower, si ce n'est que cela dura un peu plus longtemps avant qu'il ne soit élu cardinal Wojtyla et qu'il ne devienne pape.
Il remercia aussitôt ses amis en levant le 27 novembre 1983 l'excommunication de tous les francs-maçons, notifiée dans le "Codex Iuris Canonici". Le pape actuel connaît intimement le langage secret franc-maçonnique, la "poignée de main des francs-maçons" (une pression de la main particulière qui permet aux initiés de se reconnaître entre eux) mais aussi son discours lors d'une audience le 15 septembre 1982 en sont des preuves "manifestes": A propos de la mort du président libanais Gemayel, il parlait de Jérusalem, la ville de Dieu. Il dit mot à mot: "Jérusalem peut devenir aussi "la cité de l'homme" (City of man)." La "cité de l'homme" est un mot clé des Illuminati pour la dictature mondiale.
Le 18 avril 1983, le pape reçut toute la "COMMISSION TRILATÉRALE", c.-à-d. environ 200 personnes, pour une audience.
Cette organisation secrète fut fondée en juin 1973 par David Rockefeller et Zbigniew Brzezinski puisque les les organisations établies, comme l'ONU ou d'autres, mettaient trop de temps à instaurer le "gouvernement mondial". La commission trilatérale, organisation élitaire, a pour but de réunir en un seul groupement les géants les plus éminents de l'industrie et de l'économie, donc des nations trilatérales - des États-Unis, du Japon et de l'Europe de l'Ouest - pour créer en force et une fois pour toutes le "Nouvel Ordre mondial". Elle offre à l'élite venant d'horizons divers de la franc-maçonnerie la possibilité d'une collaboration secrète à l'échelle mondiale. Elle doit aussi permettre aux "Bilderberger" d'élargir leur influence en leur donnant une base politique plus large. La plupart des membres européens ont, depuis longtemps, des contacts avec les Rockefeller. La commission trilatérale se compose de 200 membres environ qui sont, contrairement aux membres des Bilderberger, permanents.
Vous pouvez bien imaginer que le PAPE JEAN PAUL II n'a pas invité tous ces gens pour une tasse de thé.

Extrait du livre: Les Sociétés Secrètes et leur pouvoir au 20ème siècle
 

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