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   Trier par date décroissante
Claude
Belgique
Posté le:
13/5/2007 13:22
Sujet du message:
Une activité physique intense
Répondre            
Email:
fa973078@skynet.be
 
Je voudrais simplement témoigner ici du fait que l'on peut se remettre totalement d'un SGB. J'en ai été la victime en 2001 et ai totalement récupéré. Je suis demeuré pourtant dans le coma pendant plus d'un mois, avec trachéo et sous aide respiratoire, suis sorti de ce mois en étant paralysé des quatre membres et quasi sourd.

Le plus dur fut de sortir de la terrible dépression ayant fait suite à mon hospitalisation.

Je l'ai combattue par une pratique d'abord légère puis de plus en plus intense de l'activité sportive (je suis sportif depuis toujours). Je multipliais par cinq, par dix, après son départ, les demandes en exercices faites par mon kiné lors de la phase de rééducation (deux mois).

Actuellement, à l'âge de 59 ans, j'ai retrouvé l'intégralité de mes fonctions et suis demeuré très actif sportivement parlant. Le seul conseil que l'on puisse donner après un SGB est d'avoir une activité physique aussi intense que possible après la phase critique et de ne jamais se laisser décourager par des progrès que l'on estimerait trop lents. J'ai actuellement le même poids qu'à l'âge de dix-huit ans et quasi le même état de forme (15km de course et power training quotidiens pour le maintien de la masse musculaire).

On peut il est vrai garder certaines séquelles plus ou moins lourdes mais on peut également, et ceci pour ceux qui en souffriraient en ce moment, s'en sortir plus fort qu'avant.

Claude
 

FRANCIS et JACQUELINE
France
Posté le:
14/5/2007 10:40
Sujet du message:
RE: Une activité physique intense
Répondre            
Email:
secrétariat-sogecco@wanadoo.fr
 
Je suis admirative de votre activité sportive . Mon mari ayant beaucoup grossi il est passait de 60 Kg à 86 kg j'essaye de le motiver mais c'est très difficile, dès qu'il fait un effort physique, marche accélérée, petite pente, se baisser, porte... il se trouve en incapacité respiratoire.

Puis avec le temps il se plaint de plus en plus de fourmillements dans les pieds et les mains puis les dents maintenant, ce qu'il n'avait pas lors de sa sortie de rréduction en août 2006.

Pour l'instant le neurologue qui le suit n'a pas donné de traitement pour le soulager hormis du neurontin 400 qui semble totalement inefficace .

Ayant encore pris 2 kg cette semaine il semble perdre tout courage.
Depuis hier il a décidé de ne plus mangé sauf du potage , avec ma fille qui est infirmière nous n'avons pas pu le raisonner.
Je ne sais plus que penser

A VOUS LIRE SI VOUS LE VOULEZ BIEN MERCI

JACQUELINE

----- Message d'origine -----
Je voudrais simplement témoigner ici du fait que l'on peut se remettre totalement d'un SGB. J'en ai été la victime en 2001 et ai totalement récupéré. Je suis demeuré pourtant dans le coma pendant plus d'un mois, avec trachéo et sous aide respiratoire, suis sorti de ce mois en étant paralysé des quatre membres et quasi sourd.

Le plus dur fut de sortir de la terrible dépression ayant fait suite à mon hospitalisation.

Je l'ai combattue par une pratique d'abord légère puis de plus en plus intense de l'activité sportive (je suis sportif depuis toujours). Je multipliais par cinq, par dix, après son départ, les demandes en exercices faites par mon kiné lors de la phase de rééducation (deux mois).

Actuellement, à l'âge de 59 ans, j'ai retrouvé l'intégralité de mes fonctions et suis demeuré très actif sportivement parlant. Le seul conseil que l'on puisse donner après un SGB est d'avoir une activité physique aussi intense que possible après la phase critique et de ne jamais se laisser décourager par des progrès que l'on estimerait trop lents. J'ai actuellement le même poids qu'à l'âge de dix-huit ans et quasi le même état de forme (15km de course et power training quotidiens pour le maintien de la masse musculaire).

On peut il est vrai garder certaines séquelles plus ou moins lourdes mais on peut également, et ceci pour ceux qui en souffriraient en ce moment, s'en sortir plus fort qu'avant.

Claude
 

claude
Belgique
Posté le:
14/5/2007 13:07
Sujet du message:
RE: Une activité physique intense
Répondre            
Email:
fa973078@skynet.be
 
Lorsqu'il s'agit de perdre du poids, le secret réside dans le fait de se satisfaire de petits gains certes mais réguliers.
Consommer moins que ce que l'on dépense est la clé de tout et si vous respectez cette loi infaillible, vous perdrez du poids.
J'avais également atteint le poids de 86kg et suis parvenu à retrouver de manière stable les 66kg de mes vingt ans.
Se peser chaque jour est une erreur à ne pas commettre, se peser une fois par semaine, le même jour, à la même heure est la manière la plus fidèle de surveiller son poids.
Quant aux problèmes d'essoufflement, sans doute causés par le surpoids, certaines douleurs articulaires (en particulier celles aux genoux), ces problèmes s'amenuiseront avec une activité physique d'abord légère puis de plus en plus intense.
Lorsque je me suis remis à courir, je pouvais à peine parcourir quelques centaines de mètres puis, en ajoutant une centaine de mètres le lendemain puis encore une autre le jour suivant et ainsi de suite, j'en suis arrivé à la distance quotidienne de 15km.
Le tout est de ne pas stopper dès qu'apparaît la fatigue mais d'encore persévérer un peu avant de stopper. C'est au moment où l'on souffre que l'on profite au maximum de l'effort effectué. Ne pas non plus être découragé par une prise de poids légère lorsque l'on débute car le muscle pesant plus lourd que la graisse (on se fait plus rapidement du muscle que l'on ne perd sa graisse), il est normal de gagner quelques centaines de grammes dès que l'on commence à se dépenser physiquement. Un excellent conseil est de pratiquer d'abord le vélo en appartement car il ne provoque aucun traumatisme au niveau des articulations qui seraient peut-être malmenées lorsque l'on affiche une surcharge pondérale trop importante. La natation aussi est idéale dans ce même contexte. Ensuite seulement entamer les activités plus intenses. J'ai perdu mes 20kg en +/- 6 mois sans jamais me décourager même lorsqu'un passage sur le pèse-personne m'affichait une prise de poids plutôt qu'une perte. Il faut tabler sur le long terme et savoir que retrouver un poids juvénile n'apporte que des bienfaits (énergie, estime de soi, assurance, santé, arrêt du ronflement, bonne humeur et même et surtout un retour à une libido allant en sens inverse de celle de la courbe du poids).
Evidemment j'ai toujours été moi-même une personne trouvant un immense plaisir à pratiquer de manière intense l'activité physique et à le faire en plus et de préférence de manière solitaire. Ceci n'est pas valable pour tout le monde et seul l'entourage peut alors encourager et motiver celui qui s'attèle à la tâche.
Il faut évidemment s'assurer, surtout à partir d'un certain âge, qu'aucune contre indication de type cardio-vasculaire n'empêche l'activité. Le sport peut également supprimer l'hypertension artérielle, ce qui fut vérifié dans mon cas.
Enfin Madame, voilà quelques indications d'ordre pratique.
Je me suis basé sur la théorie de l'IMC (indice de masse corporelle) et me suis donné comme but d'atteindre le chiffre 22
(Votre fille infirmière pourra vous dire de quoi il est question). Ceci fut fait en consommant de préférence des fruits et légumes (au moins 5 rations quotidiennes),beaucoup de poisson, un peu de viande et en supprimant fromages, viennoiseries et la plupart des graisses sauf les huiles végétales (olive, colza).
En consommant 1500 calories par jour et en dépensant par le biais d'exercices 3500 sur le même laps de temps, je pouvais perdre jusqu'à un kilo par semaine. Miraculeusement, il s'est stabilisé dès le poids de mes jeunes années retrouvé.
Actuellement, je me contente de conserver un équilibre plus ou moins précis entre le nombre de calories ingéré et celui qui est dépensé (2500/2500).
Vous pourrez trouver très facilement sur le web toutes indications nécessaires sur l'IMC, le nombre de calories acquis par aliments ingérés et celui perdu par exercices effectués. En acceptant une discipline légère et sans éprouver de sensation de faim (il est affolant de constater la masse de légumes que l'on peut avaler pour une quantité de calories très basse), le respect de la règle simple gagné/dépensé est gage d'une perte de surcharge pondérale.
Un petit truc que je m'applique lorsque la fatigue ou le découragement pointe lors d'une course par exemple. Je me dis : "Et si ces quelques centaines de mètres de plus à parcourir te permettaient, si tu parvenais à les faire, à sauver la vie de ta femme et de tes enfants, ne trouverais-tu pas en toi le courage et la force d'y aller encore ?" Ceci peut paraître puéril comme type de motivation mais cela marche, en tout cas en ce qui me concerne.

Bon courage.


----- Message d'origine -----
Je suis admirative de votre activité sportive . Mon mari ayant beaucoup grossi il est passait de 60 Kg à 86 kg j'essaye de le motiver mais c'est très difficile, dès qu'il fait un effort physique, marche accélérée, petite pente, se baisser, porte... il se trouve en incapacité respiratoire.

Puis avec le temps il se plaint de plus en plus de fourmillements dans les pieds et les mains puis les dents maintenant, ce qu'il n'avait pas lors de sa sortie de rréduction en août 2006.

Pour l'instant le neurologue qui le suit n'a pas donné de traitement pour le soulager hormis du neurontin 400 qui semble totalement inefficace .

Ayant encore pris 2 kg cette semaine il semble perdre tout courage.
Depuis hier il a décidé de ne plus mangé sauf du potage , avec ma fille qui est infirmière nous n'avons pas pu le raisonner.
Je ne sais plus que penser

A VOUS LIRE SI VOUS LE VOULEZ BIEN MERCI

JACQUELINE

----- Message d'origine -----
Je voudrais simplement témoigner ici du fait que l'on peut se remettre totalement d'un SGB. J'en ai été la victime en 2001 et ai totalement récupéré. Je suis demeuré pourtant dans le coma pendant plus d'un mois, avec trachéo et sous aide respiratoire, suis sorti de ce mois en étant paralysé des quatre membres et quasi sourd.

Le plus dur fut de sortir de la terrible dépression ayant fait suite à mon hospitalisation.

Je l'ai combattue par une pratique d'abord légère puis de plus en plus intense de l'activité sportive (je suis sportif depuis toujours). Je multipliais par cinq, par dix, après son départ, les demandes en exercices faites par mon kiné lors de la phase de rééducation (deux mois).

Actuellement, à l'âge de 59 ans, j'ai retrouvé l'intégralité de mes fonctions et suis demeuré très actif sportivement parlant. Le seul conseil que l'on puisse donner après un SGB est d'avoir une activité physique aussi intense que possible après la phase critique et de ne jamais se laisser décourager par des progrès que l'on estimerait trop lents. J'ai actuellement le même poids qu'à l'âge de dix-huit ans et quasi le même état de forme (15km de course et power training quotidiens pour le maintien de la masse musculaire).

On peut il est vrai garder certaines séquelles plus ou moins lourdes mais on peut également, et ceci pour ceux qui en souffriraient en ce moment, s'en sortir plus fort qu'avant.

Claude

 

FRANCIS ET JACQUELINE
France
Posté le:
14/5/2007 14:29
Sujet du message:
RE: Une activité physique intense
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Email:
secrétariat-sogeco@ wanadoo.fr
 
Merci Claude de vos encouragements. Je vais faire une impression de votre réponse et la donner ce soir à mon mari. Je pense qu'elle va le motiver et lui montrer qu'il n'est pas seul avec ce genre de maladie et qu'il faut toujours garder l'espoir d'un meilleur lendemain.

Je vous tiendrai au courant de l'évolution de Francis. MERCI ENCORE

JACQUELINE


----- Message d'origine -----
Lorsqu'il s'agit de perdre du poids, le secret réside dans le fait de se satisfaire de petits gains certes mais réguliers.
Consommer moins que ce que l'on dépense est la clé de tout et si vous respectez cette loi infaillible, vous perdrez du poids.
J'avais également atteint le poids de 86kg et suis parvenu à retrouver de manière stable les 66kg de mes vingt ans.
Se peser chaque jour est une erreur à ne pas commettre, se peser une fois par semaine, le même jour, à la même heure est la manière la plus fidèle de surveiller son poids.
Quant aux problèmes d'essoufflement, sans doute causés par le surpoids, certaines douleurs articulaires (en particulier celles aux genoux), ces problèmes s'amenuiseront avec une activité physique d'abord légère puis de plus en plus intense.
Lorsque je me suis remis à courir, je pouvais à peine parcourir quelques centaines de mètres puis, en ajoutant une centaine de mètres le lendemain puis encore une autre le jour suivant et ainsi de suite, j'en suis arrivé à la distance quotidienne de 15km.
Le tout est de ne pas stopper dès qu'apparaît la fatigue mais d'encore persévérer un peu avant de stopper. C'est au moment où l'on souffre que l'on profite au maximum de l'effort effectué. Ne pas non plus être découragé par une prise de poids légère lorsque l'on débute car le muscle pesant plus lourd que la graisse (on se fait plus rapidement du muscle que l'on ne perd sa graisse), il est normal de gagner quelques centaines de grammes dès que l'on commence à se dépenser physiquement. Un excellent conseil est de pratiquer d'abord le vélo en appartement car il ne provoque aucun traumatisme au niveau des articulations qui seraient peut-être malmenées lorsque l'on affiche une surcharge pondérale trop importante. La natation aussi est idéale dans ce même contexte. Ensuite seulement entamer les activités plus intenses. J'ai perdu mes 20kg en +/- 6 mois sans jamais me décourager même lorsqu'un passage sur le pèse-personne m'affichait une prise de poids plutôt qu'une perte. Il faut tabler sur le long terme et savoir que retrouver un poids juvénile n'apporte que des bienfaits (énergie, estime de soi, assurance, santé, arrêt du ronflement, bonne humeur et même et surtout un retour à une libido allant en sens inverse de celle de la courbe du poids).
Evidemment j'ai toujours été moi-même une personne trouvant un immense plaisir à pratiquer de manière intense l'activité physique et à le faire en plus et de préférence de manière solitaire. Ceci n'est pas valable pour tout le monde et seul l'entourage peut alors encourager et motiver celui qui s'attèle à la tâche.
Il faut évidemment s'assurer, surtout à partir d'un certain âge, qu'aucune contre indication de type cardio-vasculaire n'empêche l'activité. Le sport peut également supprimer l'hypertension artérielle, ce qui fut vérifié dans mon cas.
Enfin Madame, voilà quelques indications d'ordre pratique.
Je me suis basé sur la théorie de l'IMC (indice de masse corporelle) et me suis donné comme but d'atteindre le chiffre 22
(Votre fille infirmière pourra vous dire de quoi il est question). Ceci fut fait en consommant de préférence des fruits et légumes (au moins 5 rations quotidiennes),beaucoup de poisson, un peu de viande et en supprimant fromages, viennoiseries et la plupart des graisses sauf les huiles végétales (olive, colza).
En consommant 1500 calories par jour et en dépensant par le biais d'exercices 3500 sur le même laps de temps, je pouvais perdre jusqu'à un kilo par semaine. Miraculeusement, il s'est stabilisé dès le poids de mes jeunes années retrouvé.
Actuellement, je me contente de conserver un équilibre plus ou moins précis entre le nombre de calories ingéré et celui qui est dépensé (2500/2500).
Vous pourrez trouver très facilement sur le web toutes indications nécessaires sur l'IMC, le nombre de calories acquis par aliments ingérés et celui perdu par exercices effectués. En acceptant une discipline légère et sans éprouver de sensation de faim (il est affolant de constater la masse de légumes que l'on peut avaler pour une quantité de calories très basse), le respect de la règle simple gagné/dépensé est gage d'une perte de surcharge pondérale.
Un petit truc que je m'applique lorsque la fatigue ou le découragement pointe lors d'une course par exemple. Je me dis : "Et si ces quelques centaines de mètres de plus à parcourir te permettaient, si tu parvenais à les faire, à sauver la vie de ta femme et de tes enfants, ne trouverais-tu pas en toi le courage et la force d'y aller encore ?" Ceci peut paraître puéril comme type de motivation mais cela marche, en tout cas en ce qui me concerne.

Bon courage.


----- Message d'origine -----
Je suis admirative de votre activité sportive . Mon mari ayant beaucoup grossi il est passait de 60 Kg à 86 kg j'essaye de le motiver mais c'est très difficile, dès qu'il fait un effort physique, marche accélérée, petite pente, se baisser, porte... il se trouve en incapacité respiratoire.

Puis avec le temps il se plaint de plus en plus de fourmillements dans les pieds et les mains puis les dents maintenant, ce qu'il n'avait pas lors de sa sortie de rréduction en août 2006.

Pour l'instant le neurologue qui le suit n'a pas donné de traitement pour le soulager hormis du neurontin 400 qui semble totalement inefficace .

Ayant encore pris 2 kg cette semaine il semble perdre tout courage.
Depuis hier il a décidé de ne plus mangé sauf du potage , avec ma fille qui est infirmière nous n'avons pas pu le raisonner.
Je ne sais plus que penser

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JACQUELINE

----- Message d'origine -----
Je voudrais simplement témoigner ici du fait que l'on peut se remettre totalement d'un SGB. J'en ai été la victime en 2001 et ai totalement récupéré. Je suis demeuré pourtant dans le coma pendant plus d'un mois, avec trachéo et sous aide respiratoire, suis sorti de ce mois en étant paralysé des quatre membres et quasi sourd.

Le plus dur fut de sortir de la terrible dépression ayant fait suite à mon hospitalisation.

Je l'ai combattue par une pratique d'abord légère puis de plus en plus intense de l'activité sportive (je suis sportif depuis toujours). Je multipliais par cinq, par dix, après son départ, les demandes en exercices faites par mon kiné lors de la phase de rééducation (deux mois).

Actuellement, à l'âge de 59 ans, j'ai retrouvé l'intégralité de mes fonctions et suis demeuré très actif sportivement parlant. Le seul conseil que l'on puisse donner après un SGB est d'avoir une activité physique aussi intense que possible après la phase critique et de ne jamais se laisser décourager par des progrès que l'on estimerait trop lents. J'ai actuellement le même poids qu'à l'âge de dix-huit ans et quasi le même état de forme (15km de course et power training quotidiens pour le maintien de la masse musculaire).

On peut il est vrai garder certaines séquelles plus ou moins lourdes mais on peut également, et ceci pour ceux qui en souffriraient en ce moment, s'en sortir plus fort qu'avant.

Claude


 

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